On peut observer 2 grosses tendances sur le web : la réémergence du search comme un enjeu stratégique fondamental d’une part, la préoccupation des acteurs du web sur la question des contenus d’autre part.
La première tendance est un peu un lapalissade mais elle structure largement l’actualité du paysage internet actuel. D’une certaine manière, la question de la recherche semblait réglée depuis que Google s’était taillé la part du lion sur cette activité. Depuis quelques mois je remarque un retour de buzz sur cette question avec l’émergence de nouveaux modèles qui se veulent des alternatives aux algorithmes des MSN, Yahoo et autres Google (qui a néanmoins lancé la nouvelle mouture de son moteur de recherche « universelle »… ils sont modestes chez Google).
En bon apôtre du Web 2.0 et du collaboratif, je place de grands espoirs dans le modèle alternatif de Wikia, le moteur de recherche collaboratif annoncé par Jimmy Wales (fondateur de Wikipedia). C’est probablement la seule alternative crédible pour écrémer le net selon ses préférences et ses centres d’intérêt. Il est clair que la multiplication des contenus, entretenue par une concurrence extrême notamment sur la vidéo, renforce le besoin de conseil car dans un univers d’abondance, la valeur vient du conseil. Et, en matière de conseil, on est jamais mieux conseillé que par ses pairs, son réseau, ses amis et par ceux qui partagent nos affinités. Cela dit on peut, sans trop prendre de risques, anticiper que de la même manière que sur la blogosphère, il y aura les 1% d’actifs (90% de lecteurs passifs, 9% de contributeurs aléatoires et 1% d’actifs impliqués en moyenne) de prescripteurs qui alimenteront le moteur de recherche.
Si les gens de chez Wikipedia, et je leur accorde ce crédit étant donné que c’est le site dont la communauté est la plus active avec 4,6% des contributeurs actifs, parviennent à fédérer une communauté suffisamment impliquée et active sur une plateforme technique intelligente, on pourra tous bénéficier de ce que le web collaboratif peut faire de meilleur. Sinon, on se consolera en tant que communicant avec un nouveau moteur de recherche sur lequel les prescripteurs/influenceurs seront les maîtres absolus et pourront faire (et défaire) marques, entreprise et institutions.
La première tendance est un peu un lapalissade mais elle structure largement l’actualité du paysage internet actuel. D’une certaine manière, la question de la recherche semblait réglée depuis que Google s’était taillé la part du lion sur cette activité. Depuis quelques mois je remarque un retour de buzz sur cette question avec l’émergence de nouveaux modèles qui se veulent des alternatives aux algorithmes des MSN, Yahoo et autres Google (qui a néanmoins lancé la nouvelle mouture de son moteur de recherche « universelle »… ils sont modestes chez Google).
En bon apôtre du Web 2.0 et du collaboratif, je place de grands espoirs dans le modèle alternatif de Wikia, le moteur de recherche collaboratif annoncé par Jimmy Wales (fondateur de Wikipedia). C’est probablement la seule alternative crédible pour écrémer le net selon ses préférences et ses centres d’intérêt. Il est clair que la multiplication des contenus, entretenue par une concurrence extrême notamment sur la vidéo, renforce le besoin de conseil car dans un univers d’abondance, la valeur vient du conseil. Et, en matière de conseil, on est jamais mieux conseillé que par ses pairs, son réseau, ses amis et par ceux qui partagent nos affinités. Cela dit on peut, sans trop prendre de risques, anticiper que de la même manière que sur la blogosphère, il y aura les 1% d’actifs (90% de lecteurs passifs, 9% de contributeurs aléatoires et 1% d’actifs impliqués en moyenne) de prescripteurs qui alimenteront le moteur de recherche.
Si les gens de chez Wikipedia, et je leur accorde ce crédit étant donné que c’est le site dont la communauté est la plus active avec 4,6% des contributeurs actifs, parviennent à fédérer une communauté suffisamment impliquée et active sur une plateforme technique intelligente, on pourra tous bénéficier de ce que le web collaboratif peut faire de meilleur. Sinon, on se consolera en tant que communicant avec un nouveau moteur de recherche sur lequel les prescripteurs/influenceurs seront les maîtres absolus et pourront faire (et défaire) marques, entreprise et institutions.
1 commentaire:
vab банк
vab банк
[url=http://globalist.org.ua/?p=19244]vab банк[/url]
http://globalist.org.ua/?p=19244 - vab банк
Enregistrer un commentaire