A l'heure où la presse écrite traverse une crise sérieuse, on peut constater que tous les titres ne la vivent pas de la même manière...
Exemple avec le magazine gratuit Vice qui consacre une demi page à cet encart étonnant et rafraichissant.
Exemple avec le magazine gratuit Vice qui consacre une demi page à cet encart étonnant et rafraichissant.
Si vous ne parvenez pas à lire le texte, voici ce qui est écrit :
"La plupart des magazines veulent augmenter leur nombre d'abonnés parce que c'est ce que les investisseurs et les actionnaires regardent en premier pour évaluer la valeur d'une société. C'est pourquoi vous avez droit à toute sorte d'offres bidons pour vous inciter à souscrire à un abonnement. La plupart du temps, le magazine perd du fric. On a un système totalement différent. On est gratuit. Ce qui veut dire qu'on écoule tout notre stock et que, par conséquent on se fout de qui s'abonne ou pas. Après, c'est vous qui voyez !"
Un discours qui souligne, si c'était encore nécessaire, la bonne santé de la presse gratuite, surtout quand elle est de qualité.
Un discours qui souligne, si c'était encore nécessaire, la bonne santé de la presse gratuite, surtout quand elle est de qualité.
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